C’est en voyant certains des acteurs du film en faire la promo que j’ai appris l’existence de ce film, tiré d’une courte nouvelle de Stephen King.
Point d’horreur ici, en revanche il y a une part de mystère mais surtout un film vraiment compliqué à pitcher et critiquer …
Je vous explique … enfin, j’essaie …
Bon, allez, j’arrête les titres nuls après celui-ci… 😀
Le Marvel Cinematic Universe continue de s’étendre car « Les 4 Fantastiques : Premiers Pas » est déjà le 37ème film de la franchise et le début de la « Phase 6 » du MCU !
L’élan populaire n’est plus aussi fort qu’avant et on a l’impression que ces temps-ci, un film sur deux est une déception tandis que le second est sympathique sans être exceptionnel. On sort à peine d’un très bon Thunderbolts* que voilà qu’arrive l’un des projets les plus attendus et les plus ambitieux du MCU moderne : Les 4 fantastiques.
Nouveau reboot après l’échec du film (hors MCU) de 2015, on retrouve la plus ancienne famille de super-héros (qui existe depuis 1961 !) dans une nouvelle incarnation avec un style visuel original avec un antagoniste mythique, même si on l’a déjà vu en 2007 face à Ioan Gruffudd, Jessica Alba, Chris Evans et Michael Chiklis.
Mais peut-être que le film nous prépare quelques surprises ?
Le « DC Extended Universe » qui avait débuté au cinéma avec Man of Steel en 2013 en concurrent des films Marvel ne s’est pas relevé de divers échecs et déceptions (qu’on ne va pas forcément citer ici) et a fini par s’arrêter en 2024.
Mais à sa place, voici qu’arrive le « DC Universe », mené par James Gunn (Réalisateur entre d’autre des Gardiens de la Galaxie, de The Suicide Squad — le second, bien meilleur —, de Peacemaker, etc.) et du producteur Peter Safran.
Ils ont fait table (presque) rase du passé (certains personnages et acteurs/actrices font la transition entre les 2 univers) et ont lancé un petit apéritif avec la série animée Creature Commandos en début d’année. Mais voici qu’arrive le vrai départ du DCU au cinéma, et comme pour la tentative précédente, c’est à nouveau à l’homme d’acier d’avoir la lourde charge de lancer les festivités … et de donner un bon élan à la franchise ?
Mes premiers souvenirs de Formule 1 remontent à des morceaux de course des saisons 1990 et 1991. À partir de l’année suivante, j’ai commencé à davantage suivre le sport, à le regarder régulièrement et m’y intéresser de plus en plus au fil du temps. C’est un monde complexe qui va bien au-delà des courses et qui me passionne toujours autant, même si beaucoup de choses ont changé au fil du temps.
Sylvester Stallone s’était frotté au début des années 2000 à un projet de film basé sur le monde de la F1 avant de devoir transformer son « Driven » en le plaçant dans l’univers de monoplaces américaines pour diverses raisons créatives et commerciales.
Mais le regain d’intérêt pour la discipline depuis le milieu des années 2010, associé au succès de « Formula 1 : Pilotes de leur destin » sur Netflix, qui ajouté une narration autour des courses pour attirer le grand public avec du buzz et des « rivalités », a permis le développement de ce projet, produit également par Lewis Hamilton, qui a eu le support complet de la FIA et du « Formula One Group« .
Pour retranscrire avec succès et réalisme le monde de la F1 ?
Si l’on pensait que l’univers de John Wick était terminé après sa quadrilogie cinématographique et sa série préquelle sur la jeunesse de Winston Scott, l’engouement envers le personnage et l’univers a poussé les producteurs à étendre la franchise (avec sans doute un peu l’amour de l’argent).
Et avant une préquelle animée sur John lui-même, un cinquième volet (qui interroge au vu de la conclusion du 4ème) et un spin-off sur le personnage d’assassin aveugle incarné par Donnie Yen, on retrouve cette année l’univers riche de la franchise avec Ballerina, premier spin-off au cinéma, qui met en avant un personnage aperçu lors d’une petite scène dans le troisième volet.
Une bonne idée ?
J’ai toujours eu un rapport étrange avec la franchise « Mission: Impossible« . Grand amateur des séries originales, j’ai souvent été tiraillé entre mon appréciation du film d’action qu’on me proposait et mon regret de ne pas retrouver une partie de l’esprit de la franchise originelle. « Ghost Protocol » en 2011 m’a un peu réconcilié avec cette impression de retrouver une « vraie équipe » autour d’Ethan Hunt, sentiment qui sera gardé pour les 4 volets suivants (dont celui-ci), ces derniers étant tous dirigés et scénarisés (ou co-scénarisés) par Christopher McQuarrie.
Après un « Dead Reckoning Part One » (qui ne s’appelle plus Part One désormais puisque la Part Two a changé de nom…) de 2023 qui lançait Ethan et son équipe sur les traces de « l’Entité » et qui m’avait plu sans que je ne le trouve formidable, on se retrouve 2 ans plus tard pour voir la conclusion de cette histoire … et de la carrière d’Ethan Hunt ?
On est déjà au 36ème film du Marvel Cinematic Universe et force est de constater que la qualité moyenne était plutôt en baisse ces dernières années. D’autant qu’on nous propose ici un film qui décide de mettre son focus sur une équipe de personnages secondaires, parfois mal aimés ou déjà oubliés, avec une petite vibe « Suicide Squad », ce qui n’augure pas forcément des meilleurs choses. Mais on peut encore espérer tomber sur une bonne surprise.
Cas un peu particulier que cet animé qui sort au cinéma. Tout d’abord, il n’a eu qu’une diffusion réduite chez nous (2 jours en salle) et surtout, au-delà d’être un film, c’est surtout une version remontée des premiers épisodes d’une série qui débute le mois prochain.
C’est pourquoi même si je considère cet article comme une critique ciné principalement, c’est également un peu un « Découvrons un pilote » de série TV.
Gundam est une franchise que j’aime beaucoup, j’ai déjà eu l’occasion de vous en parler avec la dernière série en date, et c’est donc avec une certaine envie que j’ai décidé de voir des combats de robots géants sur grand écran … est-ce que ça valait le coup ?
Auréolé du succès de Parasite, Bong Joon-ho avait déjà une belle carrière derrière lui, pouvant compter dans ses précédentes réalisations sur des films comme The Host, Mother, Snowpiercer ou encore le sublime Memories of Murder.
Grâce à dernier succès, les gros studios hollywoodiens l’ont accueilli à bras ouverts et il a pu avoir un budget de plus de 100 millions de dollars pour son nouveau film, cette fois de la science-fiction spatiale, librement adaptée du livre « Mickey 7 » de Edward Ashton avec un casting impressionnant, dont Robert Pattinson en tête d’affiche.
Un film à la hauteur des œuvres précédentes du réalisateur ? Ou est-ce qu’il y avait un peu trop d’attente autour de lui ?
On arrive à la première grosse catégorie avec les Awards Cinéma (qu’ils soient sortis au cinéma, en VOD ou en streaming), catégorie où l’an dernier le magnifique Godzilla Minus One avait remporté le Premier Prix.
Moins de films que l’an dernier, avec déjà moins de films qui m’intéressaient mais surtout moins eu l’occasion de voir certains films que je rattraperai peut-être en 2025.
Qui remporte la catégorie cette année ?
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